Lorsqu’il découvrit Isapahan en 1953, Nicolas Bouvier aurait voulu bourrer sa pipe avec un tabac du Boa, mais nous n’étions qu’une étincelle dans la prunelle d’un chasseur de serpents. Voici un mélange maison aux douces pointes d’amertume, tabac Oriental et Latakia, avec une base de Virginia et quelques touches de Black Cavendish pour stimuler l’imagination. Baroudeur, doux
rêveur, loup solitaire en contrées étrangères, les merveilles d’Ispahan sont à toi.